Mes amis, j'ai rarement vu de tag aussi long ! Enfin, en même temps, ce n'est pas ma faute, c'est celle de Calimera, ses questions me tentaient beaucoup et me poussaient à blablater comme une vieille veuve sicilienne. Je ne refais pas intégralement ce tag en incluant par exemple 11 anecdotes sur moi (y a facilement 50 trucs avec ce qui suit) ou imposer le questionnaire à 11 autres blogueurs, par contre, si vous voulez répondre aussi aux questions de Calimera, n'hésitez pas à allez faire un tour sur son article~
Ses questions n’à elle et rien qu’à n’elle :
1. Vous êtes dans votre jardin, il fait nuit, vous observez les étoiles quand un bruit trouble votre contemplation. Vous tournez la tête, apercevez le TARDIS. Le Docteur en sort, vous... ?
Lui proposez du thé. Immédiatement. J’ai beaucoup trop de projets sur Terre pour partir sur un coup de tête comme ça (et pis, je sais déjà que les compagnons finissent toujours très mal) mais je lui demanderai de passer la nuit à boire du thé et à parler d’aventures, de philosopher sur les relations entre les différents peuples et pourquoi, causer un peu psycho’, je me suis toujours demander si on pouvait faire de la psychologie d’extra-terrestre .__.
2. L'écrivain que vous admirez le plus au monde et pourquoi ?
Un seul écrivain, c’est relativement dur pour le coup…
J’ai donc mis des petits papiers dans un saladier et j’ai tiré au sort (nan, j’ai utilisé random.org en fait) et je suis tombée sur Stephen King (entre J. K. Rowling, Oscar Wilde, Poppy Z. Brite et Wilkie Collins). Tous sont des auteurs dont j’admire l’œuvre, la plume mais également la vie et la mentalité.
Lui proposez du thé. Immédiatement. J’ai beaucoup trop de projets sur Terre pour partir sur un coup de tête comme ça (et pis, je sais déjà que les compagnons finissent toujours très mal) mais je lui demanderai de passer la nuit à boire du thé et à parler d’aventures, de philosopher sur les relations entre les différents peuples et pourquoi, causer un peu psycho’, je me suis toujours demander si on pouvait faire de la psychologie d’extra-terrestre .__.
2. L'écrivain que vous admirez le plus au monde et pourquoi ?
Un seul écrivain, c’est relativement dur pour le coup…
J’ai donc mis des petits papiers dans un saladier et j’ai tiré au sort (nan, j’ai utilisé random.org en fait) et je suis tombée sur Stephen King (entre J. K. Rowling, Oscar Wilde, Poppy Z. Brite et Wilkie Collins). Tous sont des auteurs dont j’admire l’œuvre, la plume mais également la vie et la mentalité.
Ce choix ne me rend pas malheureuse puisque Stephen King est un auteur phare dans ma "vie de lectrice". Déjà parce que c’est une passion transmise par mes deux parents (sur mon faire part de naissance, un collègue de mon père aurait écrit pour rire « j’ai invité Stephen King pour la naissance de votre fille mais il est trop crevé pour faire le voyage, il passe quand même ses félicitations »), ils me lisaient parfois quelques unes de ses nouvelles avant de dormir et Les Yeux du Dragon m’a été offert pour Noël lorsque j'avais tout juste 11 ans. En gros, c’était le début de mon goût pour la lecture et de mon amour pour les histoires horrifiques. C’est l’auteur que je lis le plus et je ne compte pas m’arrêter là, j’ai également énormément de bons souvenirs avec ses romans, des détails que j’espère me souvenir durant longtemps.
C’est aussi grâce à lui que j’ai développé un goût pour l’écriture, c’est simple : j’adore ses conseils, son comportement très terre-à-terre et sa façon d’écrire qui n’a pas peur des mots (juste des monstres). Son imagination également et je m’attache (trop) souvent à ses personnages que je trouve travaillés et réalistes.
Concernant sa vie, j’ai toujours aimé le détail qu’il aurait jeté Carrie après quelques refus de maison d'éditeur et que c’est sa femme qui l’aurait poussé au cul, au final, c’est "grâce à" Tabitha King qu’on peut lire aujourd’hui entre autres Shining, Misery ou Salem. Les gens râleront sur sa popularité et sa richesse mais, comme J. K. Rowling qui le mentionnait d'ailleurs dans une interview, ces écrivains font partis de ceux qui n’avaient rien au départ et deviennent finalement des auteurs avec du talent. Le succès que connaît King est amplement mérité à mes yeux (tout comme celui de Rowling au passage) et juste pour ce parcours, j’admire. Après, du peu qu’on sait de lui, il semble loin d’être le connard de base et semble même se foutre totalement de son statut et de ce que l’on peut dire de lui : il aime écrire, alors il écrit, point.
De plus, ça me fait plaisir de voir que Stephen King semble assez rock’n’roll (fan d'AC/DC, The Ramones…), fan de mauvais films d’horreur, la peur des avions fait partie de ses nombreuses phobies… Bref, des points communs « inutiles » mais qui me font plaisir (comme lorsque j’ai découvert que Mélanie Fazi était une fan de la saga Silent Hill, il y a un partage inconscient sympathique).
Nan pis, c’est devenu un grand ami de J. K. Rowling et adorateur de la saga Harry Potter quand même (˘⌣˘✿)
Bref, tout ça pour dire que, oui, Stephen King fait assurément parti des auteurs que j’admire énormément.
3. Le rêve le plus bizarre que vous ayez jamais fait (parce que le subconscient nous fait parfois imaginer des choses étranges dans vos rêves).
J’ai pris l’habitude d’écrire mes rêves lorsqu’ils sont réellement marquants et en fouillant dans mon dossier, je me rends compte que la plupart sont assez violents et étranges. Mais il y en a un que je ne l’ai pas besoin de relire pour m’en souvenir en fait car, comme disait un ami, ça serait digne d’une nouvelle surnaturelle :
3. Le rêve le plus bizarre que vous ayez jamais fait (parce que le subconscient nous fait parfois imaginer des choses étranges dans vos rêves).
J’ai pris l’habitude d’écrire mes rêves lorsqu’ils sont réellement marquants et en fouillant dans mon dossier, je me rends compte que la plupart sont assez violents et étranges. Mais il y en a un que je ne l’ai pas besoin de relire pour m’en souvenir en fait car, comme disait un ami, ça serait digne d’une nouvelle surnaturelle :
Ce rêve commence sur la fin d'une banale sortie en ville. Peut-être aux alentours de Noël puisque la ville était décorée et qu'il faisait légèrement froid, mais sans plus J’avais raccompagné une amie à la gare et la nuit était déjà tombée. Je m'étais installée à la station en attendant le premier tram pour qu’il me ramène chez moi. C’est alors que le tram arrive et un problème intervient : un câble entre les wagons se détache, le tram commence à dérailler et finit par serpenter comme une bête enragée au milieu du circuit. Le wagon n’était pas tombé, par chance : personne dans les voyageurs n’était blessé.
Mais une passante l'était : une femme assez âgée qui s'était tenue près des rails et dont la tête avait été frappée par le tram déséquilibré. Elle gisait à moitié morte et tout le monde accourait autour avec curiosité mais personne ne l'approchait ni ne l'aidait, à part un homme qui était accroupi et lui tenait la main. Il appelait à l'aide et examinait ses blessures mais personne ne réagissait, pire, les personnes alentours finissaient par partir. Ne comprenant pas pourquoi tout le monde se contentait d’être spectateurs, je me suis rendue auprès du corps et l’homme m'a immédiatement demandé d'appeler les pompiers.
Je tape 18 sur mon portable mais personne ne répond, comme si la ligne n'existait pas. Je retente, mais toujours aucune réponse. Je commence à paniquer et décide plutôt de tenir la main de la femme. C'est là que j'ai remarqué un détail suspect : le sang sous sa tête n'était pas frais, c'était plutôt une vieille tache de sang noir et sec qui aurait du mal à disparaître. Et surtout, c'était comme si le corps n’était qu’un délire, une image du passé. Peu importe, je continuai de lui tenir la main, de lui parler bien qu’elle ne répondait pas, qu’elle était inconsciente ou bien morte.
La panique avait attiré mon amie qui était ressortie de la gare et était venue voir ce que je faisais. Après lui avoir expliqué la situation (et la disparition étrange de la ligne des pompiers), elle me dit qu'elle connaît justement un pompier à quelques rues de là et qu'il pourra nous aider. J’abandonne donc le corps, suivant mon amie jusqu’à une étrange colline plutôt éloignée de la ville en fait. Il me semble qu’il y avait de la neige, mais parmi les arbres qui plombaient cette montagne miniature, je distinguai des flammes. Devant ce bûcher se tenait un homme vêtu d'un simple jean et d'un débardeur blanc malgré le froid. Après l'avoir interpellé, mon amie nous présente mais elle semble elle-même oublier la situation urgente, discutant en rigolant avec ce prétendu pompier. Je m’interpose alors dans leur conversation amicale en implorant son aide si il est bien pompier car une femme est gravement blessée et qu'elle se vide de son sang à quelques pas d’ici. C'est en tout cas ce que j'essayais de dire mais de ma bouche ne sortait qu'un seul nombre : 18.
Je ne comprenais pas le regard qu'ils me lançaient, comme si j'étais folle et je n'arrêtais plus de répéter inlassablement le chiffre 18, 18, 18, 18...
Au réveil, j'étais assez intriguée par ce rêve et j'avais tapé au hasard sur internet 18, il se trouve qu'au tarot, le 18 est « le chiffre sur la carte de la Lune [...] Le 18 est symbole du rêve, des illusions qui laisse à penser que ce nombre est très intuitif, imaginatif et doté d'une hypersensibilité. Un nombre à connotation très artiste, la tête dans les étoiles, un idéal très poussé laisse à penser que ce nombre vit plus dans ses projections/phantasmes que dans le monde réel, ce qui peut lui apporter certaines désillusions. Il favorise toutes les activité en rapport avec la femme , le soins aux autres, les enfants... ».
Est-ce qu'en fin de compte, cette femme n'était qu'un fantôme dans mon rêve que l'homme et moi seuls pouvions voir ? Et que les badauds ne regardaient pas la blessée mais plutôt nous à implorer de l'aide inutilement ? Bref, j'étais intriguée, j'ai imaginé plusieurs hypothèses et c'est ce qui m'a plu dans ce rêve assez incongru.
4. Vous êtes écrivain et participez à un concours dont les fonds reviendront à une association caritative, manque de bol, pour ce concours vous devez écrire un récit sur un genre littéraire (horreur, bit-lit, chick-lit, policier... votre choix !) que vous n'aimez pas/maîtrisez pas. Qu'allez-vous écrire ?
Erf, voilà que je dois écrire de la bit-lit maintenant… C’est logique mais j’ai besoin d’aimer ce que j’écris, je tournerai donc le genre à mon avantage :D
La bit-lit pourrait être sympa mais c’est toujours le même schéma. Je m’arrange pour briser les codes : l’héroïne serait une femme célibataire d’une trentaine d’années, voire quarantaine, photographe affirmée, passionnée d’Histoire et de la Belle-Époque, pas de jeune pucelle au lycée et qui a déjà tout vu dans sa vie. Sa romance se tisserait avec une fantôme qu’elle aurait capturé dans quelques clichés : une jeune femme des années 1910, magnifique et tout le tralala avec le physique de Michelle Dockery. Les dialogues seraient surtout des actions paranormales, des jeux d’ombres et des conneries de pseudo voyages dans le temps surtout imaginatifs (souvenirs partagés, rêves, lectures de journaux intimes).
Bref, je sais pas comment ça se finirait mais je suppose que si l’héroïne se suicide pour rejoindre son amante fantôme (façon Twilight), ça ferait passer un mauvais message aux lecteurs, hein ?
Ou encore, une série d’enquêtes policières entre un flic à problèmes qui tombe amoureux de sa partenaire, une jeunette qui se trouve être une créature surnaturelle (une créature inspirée des banshees, sensible à la mort, aux fantômes, avec des dons divers et variés, quelque chose du style) et ils mèneraient des enquêtes (réalistes) tout en mettant de l’ordre dans leur petite vie. Tout le tsoin-tsoin.
… En fait, je vais me mettre à écrire de la bit-lit :I
(retravaillée parce qu’en regardant de plus près, ça ressemble pas beaucoup à de la bit-lit)
5. Tout le monde (au moins) a eu son lot de bêtises quand on était enfant. De laquelle vous vous souvenez le mieux ? (les plus drôles/originales/étranges sont les bienvenues !)
Impossible de me souvenir d’une bêtise particulière, je me rappelle par contre des « plus graves » puisqu’à 5 ans où je passais mon temps à allumer le four, les bougies, les briquets et les allumettes (pour l’odeur, j’adore l’odeur des allumettes) et tout ce qui produisait du feu. Le plus ridicule est sûrement la fois où j’ai imité ma mère qui se maquillait mais… au lieu d’utiliser du Chanel, j’utilisais mes feutres, plus de couleurs et plus waterproof :B
Sinon, la plus « mignonne » : j’ai (oui, je l’ai encore) une peluche dalmatien et j’étais persuadée qu’il fallait que je lui coupe les poils régulièrement (ouais, petite, j’étais persuadée que la fourrure des animaux poussaient comme des cheveux et qu’il fallait les amener chez des coiffeurs régulièrement) sauf qu’un jour, je me suis rendue compte que, à force, on pouvait voir le tissu juste en-dessous…
6. Mis à part Poudlard, quel est le lieu imaginaire (ou réel) que vous auriez envie de visiter si vous en aviez l'occasion ?
Cela change par humeur, mais en ce moment, je dirais Morrowind. Je suis juste sous le charme de ce jeu en ce moment et le décor avec la musique me fait rêver : voyager à dos d’échassier des marais ou de guar, visiter l’énorme bibliothèque de la cité de Vivec (et me perdre dans la cité d'ailleurs), rentrer dans une tour Telvanni (qui est un champignon géant en fait), photographier un Ordinator comme les touristes photographient les membres de la garde royale de Londres, goûter le ash yam et le sujamma, essayer une armure en chitine, faire des courses à Balmora. Bref, l’éclate !
(retravaillée parce qu’en regardant de plus près, ça ressemble pas beaucoup à de la bit-lit)
5. Tout le monde (au moins) a eu son lot de bêtises quand on était enfant. De laquelle vous vous souvenez le mieux ? (les plus drôles/originales/étranges sont les bienvenues !)
Impossible de me souvenir d’une bêtise particulière, je me rappelle par contre des « plus graves » puisqu’à 5 ans où je passais mon temps à allumer le four, les bougies, les briquets et les allumettes (pour l’odeur, j’adore l’odeur des allumettes) et tout ce qui produisait du feu. Le plus ridicule est sûrement la fois où j’ai imité ma mère qui se maquillait mais… au lieu d’utiliser du Chanel, j’utilisais mes feutres, plus de couleurs et plus waterproof :B
Sinon, la plus « mignonne » : j’ai (oui, je l’ai encore) une peluche dalmatien et j’étais persuadée qu’il fallait que je lui coupe les poils régulièrement (ouais, petite, j’étais persuadée que la fourrure des animaux poussaient comme des cheveux et qu’il fallait les amener chez des coiffeurs régulièrement) sauf qu’un jour, je me suis rendue compte que, à force, on pouvait voir le tissu juste en-dessous…
6. Mis à part Poudlard, quel est le lieu imaginaire (ou réel) que vous auriez envie de visiter si vous en aviez l'occasion ?
Cela change par humeur, mais en ce moment, je dirais Morrowind. Je suis juste sous le charme de ce jeu en ce moment et le décor avec la musique me fait rêver : voyager à dos d’échassier des marais ou de guar, visiter l’énorme bibliothèque de la cité de Vivec (et me perdre dans la cité d'ailleurs), rentrer dans une tour Telvanni (qui est un champignon géant en fait), photographier un Ordinator comme les touristes photographient les membres de la garde royale de Londres, goûter le ash yam et le sujamma, essayer une armure en chitine, faire des courses à Balmora. Bref, l’éclate !
La musique est juste excellente.
7. Légendes, mythologies... quelle(s) est/sont vos/votre préférée(s) et pourquoi ?
Nordiques et Celtes. Déjà parce qu’à cause du collège, j’ai fais un peu une overdose des mythologies grecque et égyptienne. Elles sont intéressantes, mais au bout d’un moment, quand on enseigne QUE ces mythologies en faisant abstraction des autres qui sont tout aussi riches, c’est frustrant. Mais pourquoi ? Sûrement pour le décor de fond : les paysages des légendes arthuriennes me font rêver et les montagnes glacées des pays norrois m'impressionnent.
8. Racontez-moi une loufoquerie que vous auriez aimé faire/que vous aimerez faire sans oser le faire.
Sortir une réplique de « Hé ! Ma damoiseau. » Quand je suis tombée sur ce site, j’ai pas mal rigolé sur le coup car, fatiguée des répliques des gars dans la rue (je pense que toute femme a eu droit au moins à un élégant « Hé mamzelle, tu viens me sucer ? »), j’aime imaginer la tête des gars si nous on sortait ce genre de trucs.
Le p’tit « Je vois bien mes genoux sur tes épaules. » me trotte dans la tête, mais jusqu’à maintenant, je ne l’ai encore jamais sorti. Si toutefois un jour, j’arrive à le placer, je relaterai l’expérience car ça doit être quelque chose (et si je m’en sors vivante).
9. Vous devez partir en voyage mais vous n'avez le choix d'emporter qu'un seul livre (je sais, c'est cruel...), lequel choisissez-vous ?
Je confirme, c’est TRÈS cruel ! Mais je prendrais Sans Nom après mûre réflexion : je veux lire un autre livre de Wilkie Collins, c’est une époque que j’aime, un genre que j’aime et il est épais, il devrait me durer un temps pendant ce voyage !
10. Prenez votre signe du zodiaque, le titre (ou une partie du titre) du dernier livre ou film que vous avez lu/vu et votre couleur d'yeux et essayez de les combiner ensemble pour que cela donne un conseil à donner à quelqu'un qui cherche son chemin.
« Un conseil : n’embête jamais une gémeaux en train de lire La Légende Kell, c’est valable même pour tes beaux yeux bleus. Et tu te débrouilles pour trouver ton chemin. »
11. Vous avez la possibilité de voyager dans le temps et d'interviewer une personnalité historique, laquelle, pourquoi et quelles questions vous pourriez lui poser ? (soyons fous !)
Edgar Allan Poe et je lui demande si il veut bien m’épouser. Pour des raisons évidentes.
C’est sérieux.
Vraiment.
Mais il ralentit sur la bibine alors.
Merci Calimera pour ce questionnaire car même si j'ai mis du temps, j'ai vraiment adoré ! Au passage, si j'ai été taguée ailleurs sans le voir, envoyez-moi des flèches empoisonnées dans ma boîte mail, je le mérite.