mercredi 31 janvier 2018

Dishonored,

Dishonored est un jeu d’action/infiltration immersif, dans lequel vous incarnez un assassin aux pouvoirs surnaturels poussé par un désir de vengeance. Éliminez vos cibles grâce à un système de combat dynamique permettant de combiner les innombrables pouvoirs surnaturels, armes et gadgets à votre disposition.
Résumé par Steam.
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Assassinat, évasion de prison, vengeance anonyme… Non, il ne s’agit pas d’une adaptation du Comte de Monte-Cristo mais des mésaventures du protecteur royal Corvo Attano. Accusé d’avoir assassiné l’impératrice, il est amené à laver son nom dans le sang ou avec magnanimité. Le choix appartient au joueur et l’avenir de Corvo et de l’Empire des Îles en dépendent.


Je dois avouer que si Dishonored est un classique du monde du jeu-vidéo, je m’y suis mise assez tardivement (comme d’habitude) et je n’arrivais vraiment pas à accrocher au début avec un premier détail : une pâte graphique étrange. Je ne suis pas rebutée par le visuel d’habitude (je recommence toujours avec plaisir Black Mirror qui est un point’n’click tchèque de 2003 quand même) mais Dishonored a du potentiel sans pouvoir l’exploiter. Dans cet univers qui donne dans le dieselpunk appauvri, on reconnaît un Londres où la Tamise aurait débordé sur la ville comme la mer Adriatique sur Venise : la société est divisée entre les nobles crapuleux et les pauvres infectés de miasmes, les complots sont courants et le bonheur semble inexistant. Bref, le cadre promet et la direction artistique a fait du bon boulot, malheureusement, la qualité graphique du jeu ne suit pas.
J’étais triste de ne pas retrouver la "beauté" de ces portraits tranchés et hachurés en parcourant les quartiers de Dunwall. Je n’ai pas oublié l’année de sortie du jeu, mais enfin, Oblivion a soufflé ses douze bougies également et il est presque plus beau tout en étant un open-world.


Puis en revenant au fur et à mesure, j’ai terminé le jeu en l’espace de quelques soirées avec beaucoup de plaisir (malgré une répétition qui m’a poussée à torcher la fin assez vite tout compte fait), songeant ensuite à une explication pour cette pauvreté graphique : Dishonored est un jeu qui cherche à être fluide, rapide comme un surin qui doit frapper vite et discrètement, un jeu qui ne peut pas se permettre d’être gourmand en ressources donc.
Et si on joue à Dishonored, ce n’est pas pour se rincer l’œil mais pour éprouver les frissons du chasseur nocturne qui s’infiltre même dans les tours les plus hautes. Le jeu est un véritable parcours libre et Dishonored ne donne pas l’illusion de liberté comme Skyrim (il est tout de même moins libre que Prey, des mêmes développeurs). Le choix est laissé aux joueurs et il ne se limite pas qu’aux lignes de dialogues : les styles de jeu sont nombreux (furtif dans l’ombre, escapade sur les toits, assassinats discrets, meurtres en série…), plusieurs chemins sont possibles afin d’atteindre l’objectif de la mission et trois fins sont possibles. Le joueur peut vraiment personnaliser sa partie.
De plus, des chasses au trésor nombreuses et bien dissimulées motivent à recommencer l’aventure un certain nombre de fois. Ou tout simplement pour éprouver à nouveau le même plaisir de reprendre l’aventure de Corvo car, même si l’histoire peut sembler bateau, les rebondissements sont bien trouvés et contrebalancent avec une certaine monotonie. Heureusement que les décors sont variés, entraînant aussi bien dans les bas-fonds que les salons luxueux.


Pas le meilleur jeu de sa génération mais de vraies qualités au niveau du gameplay. Heureusement qu’une suite est depuis sortie car l’univers méritait d’être exploité davantage, ce premier Dishonored étant un tout petit peu trop mystérieux.
C’est donc avec grand plaisir que je retrouverai Corvo dans le second titre avec Emily Kaldwin. Dommage qu’il manque le brave Samuel, c’était mon chouchou…


             Quelques anecdotes sur ce jeu,
• La version originale a droit à quelques voix de stars comme Chloë Grace Moretz pour Emily, Brad Dourif offre sa voix à Piero Joplin, Lena Headey double Callista Curnow, Michael Madsen pour Daud (le gars qui joue le frère de Bill dans Kill Bill), il y a même une intervention de Carrie Fisher ! Et ce n’est pas fini niveau son : c’est le compositeur de la musique de Dexter, Daniel Licht, qui s’est chargé de la BO. Bref, que du beau monde pour Dishonored.
• Une musique celte revient assez souvent dans le jeu, siffloté par les gardes : Dishonored la nomme Drunken whaler mais les passionnés de musique folk auront reconnu Drunken sailor !

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jeudi 25 janvier 2018

Un cadavre dans la bibliothèque, d'Agatha Christie,

Le colonel Bentry est contrarié : on l’a tiré de son sommeil pour lui faire constater un fait particulièrement vexant : une femme, une inconnue, a été trouvée étranglée dans sa bibliothèque. Heureusement que la demeure des Bentry est voisine de St. Mary Mead, où réside Miss Marple…
Quatrième de couverture par Le Livre de Poche.
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J’ai délaissé un peu Hercule Poirot pour aller à la rencontre de miss Marple… sans être charmée plus que ça. Si je retrouve l’humour de la Reine du Crime, visiblement infatigable et c’est tant mieux, le personnage de la vieille fille enquêtrice manque de saveur dans ce policier au rythme boiteux.

Ce n’est pas la première fois que je remarque ce défaut chez Agatha Christie : la brièveté de ses romans permet une lecture rapide mais elle n’est clairement pas accordée au nombre de personnages présents.  Et c’est dommage car les interactions sont toutes hautes en couleurs : miss Marple avec son amie Mrs Bentry qui est aussi suffoquée qu’excitée d’avoir la scène de crime dans sa bibliothèque, le prétentieux Basil Blake qui représente le jeune dévergondé et n’a pas peur des "poulets"... Mais les acteurs de cette enquête sont bien trop nombreux et le lecteur peut se perdre assez facilement. Et à force de brouiller les pistes, c’est le fil de la lecture qui est embrouillé.
D’autant plus que les clichés les empêchant de se démarquer.
[ci-contre : illustration signée Corona]
Ce qui se démarque par contre, c’est la modernité du récit ! Beaucoup moins guindée qu’une enquête à la Hercule Poirot, venez rencontrer la jeune société anglaise débauchée vue par Agatha Christie et miss Marple ! Soirées bien arrosées, jeunes femmes sexy... J’ai adoré voir une femme "comme il faut" comme miss Marple dans cet univers très spécial, même si j’aurais aimé la voir plus souvent : miss Marple reste très discrète même si cet effacement est logique si on pense qu’une adorable retraitée ne peut bien évidemment pas mener une enquête.
Mais enfin, un contexte qui sort de l’ordinaire. Le tout avec beaucoup d’humour et de légèreté bien sûr, malgré le contexte.

Agatha Christie tape un petit peu plus fort qu’avec Poirot niveau enquête : le côté sensation est bien présent, digne d’un fait divers accrocheur. Seul le motif s’inscrit dans le très classique, faisant perdre du souffle à l’énigme, mais les rebondissements sont présents.

Malheureusement, si j’ai pour objectif de lire tous les Hercule Poirot (même les pastiches récents), il n’en sera pas de même avec les histoires de miss Marple : le personnage est très sympathique mais n’a pas le même cachet que le policier retraité belge, retirant un peu de saveur aux romans. Par chance, la plume vive de la Reine du Crime frappe encore et toujours !

             Quelques anecdotes sur ce bouquin,
• Ce livre a été lu à l’occasion d’une lecture commune, vous trouverez d’autres critiques ici : l’avis de Grizelda,


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mercredi 24 janvier 2018

Héros ou Couple inoubliables [24],

              

Organisé par Cassie56, le rendez-vous hebdomadaire Héros ou Couple Inoubliables permet de laisser une trace, un article à propos d’un personnage héroïque ou d’une romance qui vous a marqué, ému ou ravi en répondant à trois questions.
Aucun jour n’est fixé, mais j’ai opté les mercredis pour mon blog.






    → Pourquoi ce couple ?
On le voit venir dans Passion et Repentir mais il fait plaisir, il apporte une bouffée d’air dans ce roman tendu.
      → Est-ce le couple principal ?
Il le devient.
      → Quel aspect particulier du personnage vous a tant plu ?
Dans Passion et Repentir, Wilkie Collins critique la haute société, l’accusant d’idolâtrer les vertus sans les respecter, sans posséder la grandeur d’âme que la religion veut façonner. Dans son roman, l’auteur prouve que les gens qui ne sont pas nés parmi les classes les plus riches peuvent posséder une nature noble.
Mercy Merrick est une femme au passé déshonorant, ayant fréquenté les foyers et les quartiers les plus tristes : aux yeux de la bonne société du XIXème siècle, Mercy Merrick n’a aucun avenir conjugal digne de ce nom. À côté, Julian Gray est un membre du clergé assez atypique : ses sermons sont rythmés et sa générosité fait pâlit les prêtres les plus sévères. Peu fervent mais qui applique le message d’amour à la lettre.
L’aide qu’apporte donc Julian Gray à Mercy Merrick laisse deviner l’amour qui va les lier, c’est classique mais c’est beau et ça fonctionne.

jeudi 18 janvier 2018

Le Portrait du mal, de Graham Masterton,

Ils étaient prêts aux pires atrocités pour conserver l’éternelle jeunesse. Un portrait de douze personnages au visage en décomposition... La toile est l’œuvre d’un certain Waldegrave, ami d’Oscar Wilde et passionné d’occultisme, mais elle est sans valeur et plutôt médiocre. Alors pourquoi la mystérieuse Cordelia Gray veut-elle à tout prix s’en emparer ? Quel est le secret du portrait ? Qui sont ces douze personnages ? Vincent Pearson, l’actuel propriétaire du tableau, découvre un lien entre cette œuvre démoniaque et une série de meurtres particulièrement abominables qui secouent la Nouvelle-Angleterre depuis quelques mois.
Quatrième de couverture par Milady.
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« — Mon grand-père a dit que si nous [gardions ce tableau] en notre possession, il protégerait notre famille. Et si c’est ce que mon grand-père pensait, cela me va parfaitement.
— Mais vous n’y croyez pas vraiment, allons !
— Cessez de me psychanalyser. Vous voulez une prime pour Noël, oui ou non ? »
P. 47

Séduite par Walhalla cet été, j’étais prête à remettre le couvert avec Graham Masterton qui s’affirme comme un des maîtres de l’horreur. Moins convaincue par l’histoire du portrait maudit que par celle de la demeure hantée, j’ai quand même apprécié Le Portrait du mal.

Malgré une couverture macabre et un genre qui séduit les amoureux d’épouvante, Le Portrait du mal est un roman assez soft qui se place entre l’horreur et l’enquête surnaturelle. La part policière est assez importante et contrebalance, ne faisant pas de ce livre une plongée en enfer : l’ambiance glaciale, loin du Noël magique, et les décors luxueux, couverts de peintures victoriennes, n’inspirent pas distinction et classe mais vieilleries d’un autre temps qui aurait dû s’effacer.
Masterton reprend des éléments classiques pour donner tout à fait autre chose. C’est dommage que ces efforts au niveau du cadre effacent l’essentiel : le thème du roman. Dans la même veine que Le Portrait de Dorian Gray, l’auteur joue avec l’opposition entre un portrait qui résistera aux assauts du temps et des excès et le modèle de chair et de sang qui subira le poids des années. La quête de la jeunesse et de la beauté parfaite n’est pas loin, promettant un récit fascinant mais… Le Portait du mal se révèle un peu fade, à côté, par exemple, de Coldheart Canyon de Clive Barker qui traitait du même sujet, Graham Masterton explore moins la dimension humaine, ce qui est dommage.

En plus de cette timidité concernant le thème, le roman finit par devenir brouillon à partir de la moitié : des longueurs cassent le rythme et les points forts sont au contraire trop faibles pour marquer l’esprit. C’est dommage et même si le surnaturel ne demande pas forcément d’explications afin de conserver le mystère et la peur, Masterton est bien trop vague, laissant le lecteur sur sa faim.


Les personnages par contre sont surprenants et intéressants
: un policier qui doit changer ses convictions, une famille qui tente de survivre comme des tigres, un collectionneur tiraillé entre les souhaits de ses ancêtres et l’avenir de sa famille… J’ai beaucoup aimé Cordelia Gray et ses surprenants petits… cadeaux, laissés à ses victimes.
Si vous avez peur des insectes, Le Portrait du mal vous donnera des frissons.

Sans oublier la conclusion qui laisse un agréable goût amer : je me doutais de cette fin et ce n’est donc pas la surprise qui marque, mais l’horreur qui hante jusqu’aux dernières pages, jusqu’aux derniers mots, laissant songeur une fois le livre refermé (ou la liseuse éteinte, dans mon cas).

Un bon roman d’horreur donc, mais pas le meilleur de Masterton et pas le meilleur sur le thème. Le Portrait du mal reste un honneur sympathique à Oscar Wilde mais j’aurais aimé un récit plus développé.

« Vincent ne fut pas certain d’avoir vraiment entendu le cri. Il semblait lui avoir été transmis par les os de son visage. C’était un hurlement hideux, horrifiant, un hurlement de terreur, de souffrance et de désespoir absolu. C’était le hurlement d’un homme broyé par sa propre épouvante. »
P. 242 – 243


             Quelques anecdotes sur ce bouquin,
• Si les peintures et les peintres mentionnés existent bel et bien, il va de soit que le portrait peint par Waldegrave et ce peintre-lui-même soient fictifs… quoique…


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lundi 15 janvier 2018

Stupid Invaders,

Un jeu d’aventure hystérique truffé de situations absurdes !
Quelque part sur Terre, cinq extraterrestres tentent d’échapper aux griffes de l’ignoble Dr. Sakarin et de son chasseur de prime professionnel Bolok…
Sauvez leur peau… Prêtez leur votre cerveau !
Quatrième de couverture par Ubisoft.
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Les Zinzins de l’espace est un dessin-animé que j’adore encore aujourd’hui. Je suis même triste que, malgré son succès, cette animation se résume à seulement deux saisons, même si je revois certains épisodes avec le même plaisir qu’autrefois, ce n’est pas assez à mon goût...
Par chance, on peut retrouver Etno, Gorgious, Bud, Candy et Stéréo dans le jeu intitulé Stupid Invaders avec un univers beaucoup plus… trash.
Si vous aimez également ce dessin-animé, vous allez découvrir des secrets sur vos extraterrestres préférés…


Malgré la source enfantine et le graphisme du même esprit, Stupid Invaders n’est pas vraiment un jeu pour enfants et s’adresse plutôt aux grands enfants. Bon, j’avoue : j’y ai joué à dix ans et je ricanais face aux blagues scatologiques, même si de l’autre côté les blagues sexuelles m’échappaient totalement. Et la difficulté du jeu ne m’a pas permis d’aller très loin : le jeu est assez compliqué à certains moments car il répond à une logique absurde. Stupid Invaders est un point’n’click digne de ce nom où il faut être observateur, mémoriser les éléments du décor et surtout, avoir une imagination tordue. D’autant plus que les game over sont nombreux et peuvent apparaître de façon surprenante : ligne de dialogue piégée ou bouton fatal, sauvegardez souvent !


J’ai recommencé le jeu cette semaine et l’humour fonctionne encore ! Mais je dois avouer que je suis très réceptive à cet humour graveleux : le SMTV (la machine qui permet aux extraterrestres de se métamorphoser pour se fondre dans le décor) qui transforme Etno en couille géante, Candy qui se fait harceler au téléphone par un pervers, Bud qui planque des nichons gonflables, Gorgious qui reluque un peu trop sous la jupe de Candy… On retrouve l’humour du dessin-animé (on comprend déjà que Candy veut changer de sexe dans les épisodes) avec un degré plus poussé, plus lâché.
Je pense sincèrement que Les Zinzins de l’espace aurait eu le même humour si la série était passée à la télé après 21 heures.
Le lien avec le dessin-animé est renforcé car on retrouve les mêmes doubleurs que ceux de la première saison : Etno conserve son accent british (que j’ai toujours adoré, c’est p’têt bien pour ça qu’Etno est mon petit poulaing’ comme on dit dans le sud, mon préféré quoi), Bud a cette voix traînante et celle de Gorgious, doublé par Patrick Préjean, s’accorde parfaitement aux insultes libérées de la censure ! Toujours dans le registre son : on reconnaît les musiques de certains épisodes dans le jeu.
Stupid Invaders, c’est de l’officiel dévoilé en fin de compte, comme un Disney qui se retrouve face au conte d’origine.


Je regrette peut-être deux choses : le manque de diversité au niveau des énigmes et la brièveté du scénario.
Trouver des objets, les placer sur des éléments du décor, associer des items et une seule malheureuse énigme de mémorisation. C’est tout. Ce qui fait que le gameplay se révèle vite linéaire et l’absence quasi-totale de puzzles est très dommage. Par chance, l’absurdité de certaines interactions et le résultat de certains choix font rire et font oublier ce défaut.

On ne peut jouer à Stupid Invaders que si l’on aime les Zinzins, autrement, c’est peine perdue : dans la continuité de la série, le jeu propose une conclusion à l’aventure infernale des cinq extraterrestres. Le souci, c’est que le jeu est aussi court qu’un épisode (qui dure entre dix et treize minutes pour rappel) et la fin s’achève très vite. Même si j’ai eu un petit pincement au cœur, [spoiler] il était temps que nos Zinzins retrouvent leur planète mais j’étais triste de me dire qu’ils quittaient la Terre, marquant définitivement la fin de cette série. [/fin du spoiler] Une telle conclusion méritait bien une petite scène post-crédit pour termine en beauté !


Après, il faut garder à l’esprit que c’est un jeu qui n’a pas bénéficié du même budget que Deus Ex ou Rune sortis la même année. Les équipes ne pouvaient donc pas développer davantage le côté intellectuel ni offrir un épilogue digne de ce nom, surtout que les nombreuses animations, pas du tout laides pour l’époque (et voir les Zinzins en 3D ne m’a pas dérangée), ponctuent souvent la partie. Et au moins, Stupid Invaders peut se vanter de ne connaître que très peu de bugs.

Un jeu que j’adore, que j’ai dépoussiéré avec nostalgie et bonheur et que je vais laisser sur mon ordinateur pour y revenir très certainement un de ces quatre. Si vous avez la chance de tomber dessus et de pouvoir y jouer, jetez-vous dessus et aider ces Zinzins à rentrer (enfin) chez eux !


             Quelques anecdotes sur ce bouquin,
• Tous les screens viennent de ma partie.
• C’est Benzaie qui m’a rappelé que Stupid Invaders existait : le youtuber a commencé le jeu et vous pouvez retrouver sa partie ici, ça fait l’occasion d’un aperçu !


Envie de l’acheter ?
Faîtes attention : c’est un jeu qui date de l’an 2000, le problème ne viendra pas de la lourdeur des graphismes mais de la comptabilité entre votre ordinateur et le jeu ! Renseignez-vous avant d’acheter quoique ce soit.