Organisé par Cassie56, le rendez-vous hebdomadaire Héros ou Couple Inoubliables permet de laisser une trace, un article à propos d’un personnage héroïque ou d’une romance qui vous a marqué, ému ou ravi en répondant à trois questions.
Aucun jour n’est fixé, mais j’ai opté les mercredis pour mon blog.
Pour une fois, il ne s’agit pas d’un fan-ship, d’une romance à peine suggérée mais bien d’un véritable couple : il s’agit de la tragique paire que forment Huc de la Faye et Albérie, un couple un peu maudit mais très touchant. Attention, petit risque de spoil sur le tome 1 du Bal des Louves, La Chambre Maudite de Mireille Calmel !
→ Pourquoi ce couple ?
Le Bal des Louves est typiquement une saga romance-historique, les couples sont donc nombreux et il se trouve que celui formé par Huc et Albérie était celui qui m’intéressait le plus.
→ Est-ce le couple principal ?
Il n’y a pas tellement de couple principal dans Le Bal des Louves, mais j’ai cru comprendre que c’était le couple le plus populaire auprès des lecteurs !
→ Quel aspect particulier de la relation vous a tant plu ?
Il n’y a pas tellement de couple principal dans Le Bal des Louves, mais j’ai cru comprendre que c’était le couple le plus populaire auprès des lecteurs !
→ Quel aspect particulier de la relation vous a tant plu ?
Je suis une grande amoureuse du mythe du loup-garou et du conte La Belle et la Bête, ce qui explique rapidement mon attirance pour ce couple.
Albérie étant la louve, il y a comme une inversion des rôles dans La Bal des Louves. Mais loin d’avoir des allures de conte de fées, le couple que forment Albérie et Huc de la Faye prend carrément des dimensions presque philosophiques, cruellement réalistes. Huc de la Faye n’est "qu’un homme" esseulé, Albérie n’est "qu’une femme" maudite. L’alcoolisme, la lycanthropie et l’infidélité viennent tacher le romantisme de leur union, mais Mireille Calmel nous narre ces péripéties sans abuser des discours niais. Inutile de jouer dans le mélodrame à fond : malgré ces embûches, il faudrait être à la ramasse pour ne pas voir combien Huc aime sa femme.
Je n’ai pas lu beaucoup de romances où homme et lycanthrope se mêlent (et j’ai peur des exemples que je pourrais trouver dans la bit-lit), mais celui formé par Huc et Albérie me laissera un très bon souvenir.
Albérie étant la louve, il y a comme une inversion des rôles dans La Bal des Louves. Mais loin d’avoir des allures de conte de fées, le couple que forment Albérie et Huc de la Faye prend carrément des dimensions presque philosophiques, cruellement réalistes. Huc de la Faye n’est "qu’un homme" esseulé, Albérie n’est "qu’une femme" maudite. L’alcoolisme, la lycanthropie et l’infidélité viennent tacher le romantisme de leur union, mais Mireille Calmel nous narre ces péripéties sans abuser des discours niais. Inutile de jouer dans le mélodrame à fond : malgré ces embûches, il faudrait être à la ramasse pour ne pas voir combien Huc aime sa femme.
Je n’ai pas lu beaucoup de romances où homme et lycanthrope se mêlent (et j’ai peur des exemples que je pourrais trouver dans la bit-lit), mais celui formé par Huc et Albérie me laissera un très bon souvenir.
L’illustration ne vous semble peut-être pas adéquate mais les visages sont proches de ceux que j’avais imaginé. De plus il se dégage une ambiance de cette image très similaire à celle qui enveloppe Albérie et Huc de la Faye.
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